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ESU : le prétendu détournement à l’ISTM-KINSHASA n’en est pas un, tout savoir sur cette affaire

L’institut Supérieur des Techniques Médicales de Kinshasa (ISTM Kinshasa) fait face à des turbulences et agitation relative à un prétendu détournement.

Le journal Universitaire, un média de la place spécialisé dans le domaine de l’éducation, enseignement et recherche scientifique, avait diffusé récemment un élément pour lequel quelques membres de la délégation syndicale de l’ISTM Kinshasa, institution mère dans les sciences de la santé en RDC, s’étaient livrés à des allégations mensongères frisant la conspiration et la diabolisation contre madame l’administrateur du Budget de l’ISTM Kinshasa.

Dans leur déclaration sur le média sus- évoqué et dans bien d’autres organes de presse de Kinshasa, ils accusent l’administrateur du budget de leur établissement d’avoir détourné de l’argent.
Le complot contre madame l’administrateur du budget de l’ISTM Kinshasa remonte depuis l’année passée.
La pauvre administrateur du budget a été accusé auprès de l’ancien ministre de ESU Mohindo Nzangi Butondo pour le même fait.

Après le rapport de l’audit diligenté le ministre, il s’est avéré que madame l’administrateur du Budget était bel et bien innocente. Il a été relevé plutôt un surnombre des agents.
Et, cet effectif pléthorique fait suite à des engagements abusif fondé sur le népotisme, le clientélisme, le tribalisme et pour la seule raison de nuire à la trésorerie de cet alma mater.
Pour la petite histoire, l’Institut Supérieur des Techniques Médicales de Kinshasa existe depuis 50 ans. Le mois de Septembre 2024 prochain, il va totalisé 51 ans d’existence. Suivant les témoignages des tous les anciens gestionnaires dont les anciens directeurs général, hormis les salaires du personnel, l’ISTM Kinshasa n’ a jamais bénéficier d’une subvention de l’état propriétaire de cet établissement.
Ce qui veut dire que, la source principale de recettes et financement de l’Istm Kinshasa a toujours été les étudiants .
À la mort de l’ancien directeur général de l’ISTM, le professeur MARC KAKULE KANIKI, cette institution d’enseignement comptait 797 agents et après 6 mois seulement il en compte 1411.

Tous ces agents engagés par la secrétaire général administratif avec la complicité des quelques syndicalistes sont payés par l’ISTM Kinshasa alors que ces nouveaux engagés ne sont pas budgétisés.
En plus du nombre pléthorique que connaît l’Istm à ce jour, le nombre des étudiants a baissé suite à la multiplicité des institutions d’enseignement en sciences de santé actuellement dans le pays.

Pour le moment bien qu’il y a 9.000 ( neuf mile) étudiants, tous ne payaient pas régulièrement les frais académiques.
Aucun effort n’est entrepris pour les stimuler à payer. Cela justifie les difficultés financières pour payer les agents.
Selon des sources concordantes, un membre du comité de gestion se livrerait à la vente illicite du patrimoine de cette institution faisant louer au personnel extérieur l’espace de l’ISTM Kinshasa pour ses propres intérêts.

Ce que l’on peut qualifier sans doute d’anti valeur de la part de la patronne de l’administration à l’ISTM.
À titre illustratif, le bus de l’ISTM doter pour le transport du personnel serait utilisé pour le transport des marchandises à Lufu dans le Kongo Central.
Dans le Camp des étudiants, ils estiment que c’est seule la ministre de tutelle ou l’inspection des finances, l’IGF qui devrait tranché par une mission d’enquête et d’audit.Cette proposition est fortement saluée par le camp de l’administrateur du budget qui, en plus de l’audit effectué par le ministère Mohindo Nzangi, alors ministre de l’enseignement supérieur et universitaire qui avait aboutit de mettre en clair le facteur l’accroissement de l’effectif du personnel qui a doublé.

Le camp de la victime donc appel de tout son vœux à l’intervention de l’IGF ou d’une enquête indépendante.
Car, ils se demandent comment dans un système de gestion où il est reconnu qu’avant toute sortie de fond, le dossier ou des factures doivent suivre la procédure normale permettant de recueillir les différentes signatures afin de permettre à la banque ou à la caisse de décaisser le fond.

Comme dans toutes les entreprises et surtout dans les universités, une seule signature ne peut pas suffir pour retirer de l’argent. La signature du directeur général a toujours été indispensable, hormis celle du secrétaire général Administratif.

Le Camp de madame l’administrateur du budget se demande donc, comment est – ce possible qu’il ait détournement dans système de gestion où plusieurs signatures sont un préalable et qu’un seul membre du comité de gestion, l’ AB : Administrateur du budget soit – elle retire de l’argent à la caisse et à la banque sans l’implication des autres membres ? Comment l’ISTM Kinshasa qui n’a que les étudiants comme source principale trouverait un sur plus d’argent pour payer tous les agents dont le nombre a été doublé en six mois ?
Si détournement, il y a, comment ça s’est – il passé et avec l’accompagnement soit avec la complicité de qui ? À quand est-ce que ce détournement a eu lieu ?
Quel est le montant de ce présumé détournement ? Quel est le montant total qui sert actuellement au payement d’environ 700 agents engagés par la secrétaire général administratif en complicité avec les syndicalistes ?
Où sont les preuves de ce détournement ?

Ce sont là des questions auxquelles, le camp de l’administrateur du budget qui clame haut et fort l’innoncecité se passent.
La balle est désormais à l’IGF, organe à titrer pour l’audit.
Soit un second audit émanant du ministère de tutelle s’impose pour faire éclater la vérité et départager les protagonistes.
À faire à suivre.

ML

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